Recherchez-vous une agence de traduction juridique ? La traduction d’un document juridique nécessite une maîtrise poussée de la langue, une formation dans le domaine juridique et une habilitation digne du nom. Ces critères sont interrogeables, si vous cherchez une agence de traduction juridique de prestige. Quelles sont les qualités d’une agence de traduction juridique ?
L’utilisation de la langue maternelle comme la langue du métier.
L’un des premiers critères à prendre en compte quand il s’agit de choisir une agence de traduction juridique, c’est la maîtrise de la langue. Si la traduction doit être imbue d’authenticité et de fluidité, le traducteur doit savoir non seulement parler sa langue maternelle, mais aussi maîtriser les règles les plus populaires et les plus appliquées.
En effet un traducteur juridique qui maîtrise à la perfection sa langue maternelle est en mesure de manier toutes les subtilités linguistiques propres à toutes les langues. Ainsi, ils possèdent une aptitude élevée pour choisir et utiliser les terminologies, ainsi que le style de langue pour que la traduction se rapproche le plus du sens exact. Par exemple, il existe le Français hexagonal, français canadien, français international et l’anglais britannique, anglais américain, anglais canadien.
Seuls les natifs de chaque dialectique peuvent prétendre traduire dans ce dialecte. Il est complètement inadmissible de faire traduire à une société de traduction anglaise un document en français hexagonal. Pour faire court, la sollicitation d’un traducteur juridique qui travaille dans sa langue maternelle vous garantit un texte très qualitatif.
L’exigence du droit comme domaine d’expertise
L’étendue du domaine de la traduction oblige à imposer certaines limites envers le traducteur professionnel. Il existe plusieurs types de traducteurs. On y compte les traducteurs de documents chiffrés, des campagnes marketing et communications, des romans, des textes académiques, etc. Dans le domaine juridique, le traducteur recherché doit être un spécialiste de traduction des documents juridiques. Legal 230, par exemple, est une agence qui propose des prestations 100 % juridiques.
Un document agricole ne peut en aucun cas se traduire comme un document de droit. En effet, chaque secteur d’activité, possède ses propres locutions d’expression et ses exigences linguistiques. Seuls les traducteurs experts dans la matière qui fait objet de la traduction, peuvent rendre une traduction de qualité.
Cette dernière va illustrer toutes les idées contenues dans le document dans les termes appropriés. C’est pour cela qu’il est obligatoire de faire traduire le document juridique par un expert en droit. Il faut donc tenir compte de curriculum vitæ du traducteur en question pour juger de son aptitude à traduire les documents juridiques.
La certification aux normes de qualité des traductions
En matière de traduction juridique, il est très imprudent de se fier uniquement au savoir-faire et au professionnalisme de traducteur. Pour que le travail soit qualitatif et authentique, il faut faire plutôt confiance à la certification. C’est un indicateur indispensable sur lequel on doit nécessairement se baser.
C’est pour cela que lors du choix du traducteur, il va falloir contrôler la présence de certains labels de qualité, surtout ceux attribués par les organismes comme ISO (International Organization for Standardization ou Organisation internationale de normalisation) ou AFNOR, une association française représentant la France auprès de l’ISO et du CEN (Comité Européen de Normalisation). Si le traducteur a adhéré à un syndicat ou à une organisation professionnelle des traducteurs, cela représente une grande assurance pour vous.
De plus pour la traduction des documents juridiques (contrats de travail, contrats commerciaux, conventions, protocoles d’accords, baux, polices d’assurance, accords de partenariat, conditions générales de vente, règlements et décrets, textes de loi, conditions générales d’achat…) le traducteur doit être assermenté. C’est-à-dire qu’il doit être reconnu et habilité par le Procureur de la République.
La vérification de l’outil de travail et de la disponibilité du service de relecture
Malgré que l’être humain soit le meilleur des traducteurs, à l’ère du numérique, on doit faire usage des technologies de l’information et de la communication. Ainsi pour optimiser la qualité de la traduction, gagner assez de temps et respecter les délais de livraison, il faut utiliser les logiciels. C’est ainsi qu’on parle de TAO ou Traduction Assistée par Ordinateur, un sous-secteur de la traduction, regroupant la majorité des outils informatiques, utilisés par une entreprise de traduction.
Enfin, le traducteur doit avoir son propre service de relecture. Normalement, la relecture fait partie intégrante de la traduction mais avec les nouvelles normes, il faut faire la relecture en aval. Les traductions peuvent être imparfaites au départ mais avec une relecture, il est possible de récupérer un document fiable et authentique.