Devenir manipulateur radio pour sa reconversion professionnelle

Le métier de manipulateur radio consiste à faire des travaux de radiographies sur tout le corps humain. Appelé aussi manipulateur en électroradiologie médicale (MER), ce professionnel est essentiel dans le secteur de la santé. Il se charge de pratiquer des imageries par résonance magnétique (IRM) ainsi que des scanners. Découvrez les qualités à avoir et les formations à suivre pour se reconvertir en manipulateur radio.  

manipulateur radio

Les qualités nécessaires

Le métier de manipulateur radio est une profession qui requiert des connaissances et des compétences particulières. Afin de pouvoir se reconvertir à cette profession, il faut avoir beaucoup de rigueur dans son travail. Le manipulateur radio doit être précis au millimètre près avec ses matériels. Cela permet d’éliminer les risques de radiation et d’avoir les bons clichés. Il doit suivre scrupuleusement les protocoles de sécurité en vigueur pour cela. Un bon sens de l’écoute est aussi nécessaire.

Le manipulateur radio communique avec le patient pour l’installer et le positionner correctement pendant une séance. Il doit être rassurant et toujours être attentif. Il faut aussi avoir de la patience et du tact durant les échanges avec ses interlocuteurs.

Enfin, une bonne capacité d’adaptation est requise pour ce métier. Le manipulateur radio doit bien se familiariser avec les technologies dans son travail. Il est curieux et reste à l’affût des nouveautés concernant les recherches dans le domaine. 

Quelle formation pour travailler en tant que manipulateur radio ? 

Se reconvertir en manipulateur radio est possible en obtenant le Diplôme d’État de manipulateur d’électroradiologie médicale. Le cursus dure 3 ans dans un établissement adapté. Il existe de nombreuses institutions capables de délivrer cette certification en France. 

L’accès à la formation se fait par sélection de dossier et s’adresse à tout bachelier.  Les cours visent à initier les élèves sur la radiologie et ses équipements. D’autres types d’enseignement peuvent aussi accompagner ces apprentissages. 

Avoir un diplôme de technicien supérieur en imagerie médicale et radiologie thérapeutique permet aussi de devenir manipulateur radio. Le cursus dure 3 ans sous la direction du Ministère de la Santé. Le parcours permet d’apprendre comment seconder le médecin radiologue. Cela permet aussi de maîtriser les différentes techniques de radiographie par exemple. 

Certains diplômés d’État du domaine paramédical sont dispensés de la première année de cours. Il en est de même pour les élèves médicaux ayant validé leur premier cycle.  

Carrière et opportunité d’évolution

Les débouchés du manipulateur radio sont nombreux. Ce professionnel peut travailler dans différents établissements de soins et plusieurs structures médicales. Cela peut s’agir d’hôpitaux, de cliniques, de centres de soins ou de cabinets de radiologie. 

En début de carrière, le manipulateur radio ne peut que travailler dans un centre adapté. Après quatre ans d’expérience, il peut évoluer en chef de service ou en responsable. En fin de carrière, il peut aussi devenir directeur de centre ou exercer en tant que formateur spécialisé. Il doit seulement acquérir certains enseignements pour cela. 

Le manipulateur radio peut également se reconvertir dans un autre domaine avec une bonne formation. Il peut s’orienter vers une structure industrielle, commerciale ou technique, mais des secteurs en relation avec la radiologie évidemment. Cette reconversion dépend toutefois de ses connaissances et de ses compétences dans chaque domaine.

Les salaires envisageables

Le salaire d’un manipulateur en électroradiologie médicale varie en fonction de l’établissement où il exerce. Toutefois, la rémunération de ce professionnel dans le secteur privé n’est pas très différente du secteur public. La fourchette proposée est souvent très approximative. 

Dans le secteur public, un manipulateur radio touche environ 1 500 euros par mois en début de carrière. Il s’agit d’un tarif brut qui peut évoluer selon les grilles indiciaires dévoilées par les institutions compétences. Après des années d’expérience, cette rémunération peut grimper jusqu’à 2 500 euros par mois.

Dans le secteur privé, le manipulateur radio débutant gagne près de 1 700 euros mensuel. Ce chiffre peut cependant s’élever jusqu’à 2 200 euros dans les établissements de traitement du cancer. Après avoir exercé durant des années, ce professionnel peut gagner bien plus selon son domaine. Par ailleurs, les primes et indemnités sont définies par la loi et où il travaille.

Les qualités nécessaires

Personnage important du milieu scolaire, le Conseiller principal d’éducation prend en charge diverses activités au sein de l’établissement. Pour mener à bien ses missions, le CPE doit posséder les qualités suivantes :

  • Faire preuve de fermeté, tout en étant flexible sur le relationnel. Le conseiller principal d’éducation doit être conscient de sa mission et de son rôle. Il veille à ne pas déroger aux règles morales qu’impose sa fonction. Cela ne l’empêchera pas d’être à l’écoute des élèves et compréhensif ;
  • Une aisance naturelle pour la fréquentation des jeunes. Le conseiller devra établir une communication saine avec les étudiants. Disposer un intérêt particulier pour l’échange verbal est ainsi très indispensable ;
  • Une bonne maîtrise de la pédagogie et de la psychologie importe également. Ces connaissances seront sollicitées lors des gestions de conflits et des situations sensibles et problématiques. Elles aident aussi à comprendre les élèves et leur ressenti par rapport à une situation donnée ;
  • La rigueur et la logique sont également très recherchées chez un Conseiller principal d’éducation. Il doit savoir organiser et manager les tâches qui lui seront attribuées.

Quelle formation pour travailler dans le domaine de l’éducation en tant que CPE ?

Pour exercer le métier de Conseiller principal d’éducation, il faut avoir effectué un parcours universitaire de 3 ou 5 ans. Le recrutement pour intégrer le poste s’effectue par voie de concours qui se présente sous deux formes :

  • Concours externe : le candidat doit disposer d’un Master 1 ou un Master 2 en Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation. L’intéressé effectuera un stage durant la dernière année (M2) pour devenir titulaire ;
  • Concours interne : il est accessible aux candidats disposant d’une licence. Ceux-ci devront aussi avoir effectué 3 années de service dans la fonction publique.

Carrière et opportunités d’évolutions

À la suite du concours national des Conseillers principaux d’éducation, le professionnel effectuera un an de stage. Il pourra, par la suite, devenir titulaire ou être affecté dans un établissement scolaire donné.

Le Conseiller principal de l’éducation travaillera en tant que fonctionnaire dans une structure publique. Il pourra aussi trouver un poste au sein d’une école privée. Dans ce cas, ce sera le responsable de l’établissement qui effectuera le recrutement.

Avec de l’expérience, le CPE pourra prétendre au poste d’inspecteur ou de chef d’établissement.
Certaines études démontrent que ce poste est occupé, en grande partie, par la gent féminine. Le métier est difficilement accessible d’accès et le taux de réussite est de seulement 5 %. Cependant, une fois admis et après obtention du diplôme, les voies professionnelles s’ouvrent facilement aux candidats.

Les salaires envisageables

En tant que fonctionnaire, le salaire d’un CPE est basé sur une grille indiciaire. Celle-ci est semblable à celle des autres professions de l’éducation, principalement les professeurs certifiés et d’écoles.

Un CPE débutant gagne 1 828 euros nets mensuels. Avec les années d’expérience et en fin de carrière, son salaire s’élève à 3 889 euros nets par mois. Y sont ajoutées des indemnités diverses.

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