Le modèle de l’hypermarché fait de moins en moins recette. Un nouvel urbanisme commercial émerge, plus hétérogène et plus durable.
Qui ne s’est jamais perdu dans les kilomètres de rayons d’un hypermarché? Qui n’a été plongé dans un abîme de perplexité devant l’offre pléthorique de yaourts au rayon frais? Qui n’a eu le vertige face à l’enfilade de caisses dans ces grandes surfaces qui s’étalent en moyenne sur 5 700 mètres carrés par magasin? « Il y a une crise du gigantisme, d’une trop grande standardisation de l’offre », concède Michel-Edouard Leclerc lui-même, patron de l’enseigne E. Leclerc (1). Trop grands, trop loin de l’habitat, trop nombreux, les hypermarchés sont aujourd’hui en perte de vitesse
Lire la suite de l’article de Claire Alet-Ringenbach dans Alternatives Economiques – n°281 – Juin 2009.
Poster un commentaire